Tenir des propos critiques non injurieux sur internet n’est pas une faute.
Un salarié qui s’interroge notamment sur le licenciement d’un collègue » monté de toutes pièces » via un site internet à faible audience, use de sa liberté d’expression et ne commet aucune faute.
Cassation sociale 6 mai 2015 n° 14-10.781